Anna avait beaucoup insisté auprès de Dolorès, sa mère, pour pouvoir organiser sa petite soirée entre copines. Cette dernière avait fini par craquer, fatiguée d'entendre les ''steuplaiiiiiiit'' implorants de sa fille du matin au soir.

Anna s'était aussitot précipitée dans sa chambre pour envoyer des mails à Clarina, Elonie, Lucille et Akiko pour les inviter à sa ''super pyjama party entre filles''. Elle avait choisi le week-end suivant car sa mère ne serait pas là et elles pourraient faire tout ce qu'elles voudraient sans entraves. Au programme : films pornos, streap-tease, concours de fellations, douches communes et orgies. Mais aussi et surtout, leur jeu préféré à toutes les cinq, l'élection de "miss trainée".

Dolorès, même si elle avait fini par céder face à l'insistance de sa fille, n'aimait pas trop l'idée de cette soirée entre filles, surtout qu'elles avaient choisi d'organiser ça le jour où elle ne serait pas là. Elle connaissait bien les copines d'Anna, toutes plus délurées les unes que les autres, et craignait que leur petite soirée pyjama ne se transforme en orgie généralisée.

Elle savait que sa fille et ses copines n'étaient pas seulement des "bonnes amies", mais beaucoup plus que cela. Elle en avait eu la preuve à plusieurs reprises. Par exemple la fois où Akiko, la copine Japonnaise d'Anna, était venue dormir à la maison et que Dolorès l'avait entendu gémir au beau milieu de la nuit. Elle avait grondée sa fille le lendemain mais celle ci s'était défendue en expliquant qu'Akiko avait dû faire un rêve agité et que c'est pourquoi elle avait crié pendant son sommeil.

Dolorès savait pertinemment qu'il n'en était rien, mais se garda bien de le dire. Elle ne pouvait pas dire qu'elle s'était levée en pleine nuit pour venir espionner par le trou de serrure et avait assisté à la pipe endiablée que sa fille avait fait à Akiko. Elle ne pouvait pas non plus dire qu'elle s'était masturbée en regardant la bouche charnue de sa fille glisser le long de la belle verge d'Akiko, et qu'elle avait joui au moment où la japonnaise éjaculait sur le visage de sa fille. 

Dolorès avait assisté à des scènes similaires avec les autres copines, Lucille, Clarina et Elonie, et chaque fois elle s'était masturbée en les espionnant. 

Le jour de la soirée pyjama, Dolorès quitta la maison à 5h de l'après-midi. Elle fit le tour de la grande propriété en restant dissimulée derrière la haie qui bordait le jardin et se faufila à l'intérieur par une des portes de derrière. Il s'agissait d'une villa immense, assez grande pour qu'elle puisse rester cachée tout le week end sans se faire repérer. De plus, toute la propriété était équipée d'un système de surveillance, avec caméras hd et micros à longue portée, dont toutes les données étaient envoyées à une salle de contrôle unique. La petite pièce était toujours fermée à double tour et seule Dolorès possédait une clé, si bien qu'elle ne risquait pas d'être découverte. Elle avait dit à sa fille que la surveillance était désactivée suite à un problème informatique, ce qui avait semblé la réjouir.

Une heure après avoir pris place devant l'écran de controle, Dolorès repèra Clarina et Elonie qui arrivaient en voiture. Elle se garèrent dans l'allée et Clarina descendit en premier. Quand Dolorès vit la tenue que portait cette dernière, elle n'eut plus aucun doute sur la nature de leur soi disant 'soirée pyjama'. 

''Oh la bombe!'' se dit Dolorès en se rapprochant de l'écran pour mieux voir.

Clarina portait des bas blancs hyper sexy et une jupette ultra courte qui lui couvrait à peine les fesses, un débardeur noir qui laissait voir son ventre et des chaussures noires à talons.

Elonie n'était pas en reste puisqu'elle portait le même genre de tenue, sauf qu'elle avait opté pour des sockettes blanches au lieu des bas et portait des chaussures à talons rouges. Mais la jupette était toute aussi courte et toute aussi inadaptée pour une jeune fille de 18 ans se rendant à une soirée entre copines.

Elle marchèrent ensemble jusqu'à la porte d'entrée, se tenant pas la taille comme deux jeunes amoureuses, et sonnèrent.

Dolorès n'était pas au bout de ses surprises puisque lorsque qu'Anna ouvrit la porte, elle portait une robe en latex rose qui lui collait indécemment au corps, à tel point qu'on pouvait voir le relief de son string au travers. Dolorès n'était même pas au courant que sa fille possédait cette robe. 

Les trois jeunes filles s'exclamèrent en même temps en découvrant la tenue des autres. Les commentaires fusèrent :

"ouaaah, ce que t'es bonne dans ta petite robe roooose! mmmm, ça fait bien ressortir ton petit cul de rêve !"

"trop bien vos tenues de schoolgirl ! Vous avez l'air d'une belle paire de salopes habillées comme ça !"

Elle pénétrèrent à l'intérieur et Dolorès passa sur la caméra du hall d'entrée. Les trois jeunes filles se rapprochèrent en cercle et s'enlacèrent par la taille pour échanger un baiser commun, leurs trois langues s'emmelant au milieu. Les deux blondes ne se gênaient pas pour glisser leurs mains sur les fesses d'Anna et les empoigner fermement. Dolorès pouvait entendre sa fille lacher des gémissements de plaisir pendant que ses copines lui pelotaient le derrière.

Elle repèra un mouvement sur l'autre écran, celui qui affichait les images de toutes les caméras. C'était Elonie qui arrivait, habillée de manière tout aussi provocante que les autres. Elle était habillée tout en bleu : jupette serrante bleue au ras des fesses, collants bleus qui faisait ressortir ses longues jambes, et chaussures à talons en daim bleu. Arrivée devant la porte d'entrée, elle fouilla dans son sac à main et en sortit son rouge à lèvre pour se remaquiller, puis retira l'elastique qui retenait ses cheveux en queue de cheval pour laisser sa chevelure retomber en cascade sur ses épaules.

 

Elle sonna et se mit dos à la porte. Au moment où Anna ouvrit la porte, Elonie se pencha en avant, les fesses tendues vers la porte, et souleva sa jupe. Il y avait quelque chose d'écrit sur les collants bleus d'Elonie, au niveau de ses fesses. Dolorès zooma pour pouvoir lire ce qui était écrit et n'en crût pas ses yeux. Elonie agita les fesses devant les trois autres filles qui s'esclaffèrent de rire. En travers de son derrière était écrit, en grandes lettres, 'Elonie = garage à bites !'

"ouiiii, t'as pas oublié notre petit jeu!!" s'exclama Anna, folle de joie.

"et vous avez pas oublié non plus j'espère" répondit Elonie en se relevant.

Pour montrer qu'elles n'avaient pas oublié ce qu'elles s'étaient promis de faire, Lucille, Clarina et Anna se retournèrent à trois en même temps, se penchèrent et remontèrent leurs jupes pour montrer leur derrière à Elonie. 

Nouveau choc pour Dolorès lorsqu'elle zooma sur les trois paires de fesses alignées, chacune arborant une inscription au marqueur du même registre que celle d'Elonie. Clarina portait une inscription qui disait "Clarina = chaudasse en manque". Lucille avait écrit "Lucille = chienne à défoncer". Et comble de tout, Dolorès lut sur les fesses de sa fille "Anna = jeune pute à violer".

Le fessier d'Anna fût celui qui eut le plus de succès. Les trois autres filles admiraient l'inscription en passant leurs mains dessus, ricanant comme des fillettes, tandis qu'Anna tendait fièrement les fesses en arrière pour bien les montrer. 

Elles rentrèrent et passèrent au salon en attendant la dernière invitée. Elles discutèrent en sirotant des cocktails qu'avait préparés Anna, une main portant le verre et l'autre posée sur la cuisse de leur voisine. 20 minutes plus tard, Dolorès aperçue Akiko qui arrivait par l'allée de devant. Il ne s'était rien passé de particulier dans le salon, si ce n'est le moment où Elonie s'était levée et avait commencé à se dandiner sur la musique, sous les exclamations hystériques des autres. Elle ondulait comme une chatte, debout sur la petite table basse, en passant ses mains le long de son corps et de ses longues jambes. 

Akiko, dont Dolorès savait que c'était la pire de toutes, remonta l'allée dans sa tenue d'écolière. Elle portait des baskets réhaussées noires, des sockettes blanches et une tenue schoolgirl rouge.

Elle sonna et, comme Elonie, tendit son joli petit fessier vers la porte, jupette relevée. Quand les autres vinrent lui ouvrir la porte, elles s'exclamèrent de joie et se précipitèrent vers elle. Dolorès assista à la plus surprenante des scènes. Les quatres filles se mirent à 4 pattes et lui baisèrent les chaussures et les mollets à travers ses sockettes, en la gratifiant de noms respectueux. Akiko leur tapotait le haut du crâne comme à des gentils chiens.

"c'est bien mes salopes... c'est bien"

Clarina dit : "oh maitresse, vous êtes trop bonne aujourd'hui!!"

Lucille dit : "mon cul est à vous, il n'attend que votre queue!!"

Elonie dit : "vous allez bien me retourner, hein maitresse? S'il vous plait!!"

Anna dit : "je veux votre bite au fond de mon cul, et que vous me giclez dans le fion"

"je vais toute vous passer dessus, ne vous inquiétez pas bande de salopes" dit Akiko en jouant avec ses nattes.

"ouiiii!!!" s'exclamèrent les autres en levant les bras au ciel.

"allez arretez vos conneries maintenant, dit Akiko en riant. Rentrons à l'intérieur." La Japonnaise mit une fessée à Elonie, laquelle répondit par un gémissement de satisfaction.

Elles se rendirent dans la chambre d'Anna et cette dernière déclara : "que l'élection de Miss Trainée commence!". Les autres applaudirent et Elonie, qui visiblement ne pouvait plus attendre, monta sur le lit en criant "c'est moi qui commence!"

L'election de miss trainée, jeu inventé par Elonie, se déroulait de la manière suivante : toutes les candidates devaient passer devant les autres chacune leur tour, disposant de deux minutes maximum, et devait faire tout leur possible pour exciter les autres. Celle qui faisait le plus bander les autres était élue miss trainée.

Elle se balança au rythme de la musique qui jouait, sous le regard des autres assises en tailleur. Elle posa ses mains sur ses genoux et se pencha en avant d'un air mutin, offrant une vue plongeante sur son décolleté à ses copines. Elle se baissa en se dandinant langoureusement, comme une strip-teaseuse professionnelle, jusqu'à se retrouver à genoux. Elle passa un doigt sur sa bouche peinturlurée de rouge vif et écarta lentement les jambes. Sa jupe trop serrée remonta toute seule et dévoila le haut de son collant bleu, tendu à mort par son sexe en érection.

Dolorès n'en revenait pas. La jeunette avait un membre démesuré. Elle se mordit la lèvre en zoomant sur le haut du collant tendu comme une tente. 

"Oh le braquemart!" s'exclama Dolorès.

Elonie soulevait et abaissait les fesses devant le regard admirateur de ses copines, comme si elle pénétrait un orifice imaginaire au dessus d'elle, sa longue verge parfaitement à la verticale. Elle commença à gémir et à balancer sa chevelure sauvage, de plus en plus intensément au fur et à mesure qu'elle pénétrait sa partenaire imaginaire. Elle se pencha en arrière et posa les mains à plat derrière elle, toujours assise à califourchon sur ses chaussures à talons, et accentua les mouvements de bas en haut. Elle avait la tête rejetée en arrière et gémissait de sa voix cassée.

"mmm ohhh. Un cuuul, donnez moi un cuuul ohhh ouiiii."

Elle poussa sur ses chaussures à talons pour lever les fesses et tendre son collant au maximum, gémissant de plus belle. Son collant se déchira d'un coup et libéra son sexe démesuré, sous les exclamations hystériques de ses copines. 

"mmm je veux gicler dans un cuuul !" lacha t-elle. Et elle éjacula dans les airs. Dolorès n'avait jamais vu un jet d'une telle force. Elle gicla comme une vraie fontaine, envoyant de longs filets de spermes qui s'élevèrent à plusieurs mètres de hauteur avant de retomber tout autour, arrosant ses copines qui riaient comme des folles et applaudissaient en choeur. Elonie se releva, toute souriante, visiblement satisfaite de sa prestation, et se pencha en avant pour saluer le jury qui appludissait toujours.

"la saloooope !"

"oh la chaudaaaasse!"

"suivante!" annonça Anna.

Clarina et Lucille voulurent participer ensemble. Elles se levèrent et montèrent sur le lit. Elle commencérent par se déhancher sur la musique, d'abord chacune de leur coté, puis de plus en plus près. Elle s'enlacèrent par la taille et se frottèrent l'une à l'autre, se fixant dans les yeux. Puis soudain, Lucille attrappa Clarina par les cheveux, la fit pivoter sur elle même et lui releva la jupe pour lui coller une grosse fessée. Elle se cramponna de son autre main à la hanche de sa copine, lui tirant les cheveux en arrière, et se mit à simuler des va et viens contre ses fesses. 

"wouuuuh !! Encule la cette salope!" lança Elonie en levant son verre.

Lucille tira de plus belle sur les cheveux de Clarina, la faisant lacher un petit cri aigu, et donna de plus gros coups de reins contre ses fesses.

"t'aimes ça, hein blondasse?"

"ah putaaaain ouiiiii!! Défonce moi le cul!!"

Lucille lui envoyait des fessées en la bousculant de plus en plus fort, faisant bouger le lit de plusieurs centimètres à chaque coups de reins.

Puis Clarina se redressa et elle inversa les rôles. Elle attrappa Lucille par les cheveux et la pencha en avant. Elle fit mine de la sodomiser tandis que Lucille simulait un orgasme devastateur, gémissant comme une folle.

"qui c'est qui se fait casser son petit cul maintenant, hein salope?"

"c'est moiiii! C'est moiiii!" cria Lucille d'une voix implorante.

Les autres applaudissaient et riaient. Puis ce fut le tour d'Akiko de passer sur la table.

La jeune Japonnaise se donna un air innocent et timide, jouant nerveusement avec les rebords de sa jupette comme si elle avait le trac. Elle prit une petite voix et se présenta.

"euh bonjour, je m'appelle Akiko. Je suis vierge..."

"waouuuuh!!" s'exclamèrent les autres.

"salope de menteuse" lança Anna, ce qui fit rire les autres.

"j'ai un petit cul tout serré et euh..." continua Akiko, jouant toujours la jeune fille timide pour amuser les autres. "j'aimerai bien me prendre une grosse queue dans mon petit cul, pour voir ce que ça fait"

Elle se pencha, releva sa jupette et leur montra sa petite culotte.

Puis elle retira sa culotte, tendit les fesses en avant, rougissant, et les écarta pour montrer son joli petit anus serré.

"qui veut me dilater mon petit fion de pucelle? Elonie et sa grosse queue peut-être? Anna? Lucille? Clarina? Ou pourquoi pas... toutes en même temps?" En disant cela, elle s'enfila un doigt dans l'anus en gémissant de sa petite voix, puis un deuxième, un troisième et un quatrième. "ohhh ouiii, quatre grosses bites dans mon p'tit fion pour le dépuceler, c'est ce que je veux!" 

Les autres applaudirent pendant qu'elle faisait une petite révérence pour saluer le jury.

Dolorès pensait avoir tout vu mais ce fût au tour de sa fille de passer sur le lit. Elle se mit de dos et retira sa robe en latex rose, se retrouvant en culotte et débardeur de la même couleur. Elle se fourra une culotte qui trainait sur le lit dans la bouche. Elle se mit à crier dans le baillon en affichant une mine terrifiée. Elle sortit des menottes de sous son oreiller et s'attacha les mains dans le dos.

Elle se jeta face contre le lit, comme si quelqu'un venait de la pousser. Elle fit semblant de se débattre, criant de plus belle dans son baillon, tendant les fesses vers ses copines.

Dolorès zooma sur le derrière de sa fille et se rendit compte non seulement qu'Anna avait une érection, mais que sa culotte était trempée de mouille. 

Elle se tira brutalement les cheveux en arrière, d'elle même, et se mis une série de fessées en lachant des gémissement étouffés et implorants, faisant comprendre aux autres qu'elle simulait une agression. Elle secoua la tête d'avant en arrière en faisant des bruits de gorge, comme si quelqu'un la forçait à sucer.

Sa petite mise en scène terminée, elle se releva sous les acclamations des autres et retourna s'asseoir.

"Alors, qui vous a le plus excitée? Qui est élue Miss Trainée de la semaine?"

Les discussions allèrent bon train pour savoir qui des 5 avait le plus excitée les autres. Finalement, tout le monde tomba d'accord sur le fait qu'Anna était la nouvelle trainée.